Ce que nous subissons aujourd'hui, les
maux que la France subit sont connus et débattus depuis des
dizaines d'années dans les milieux politiques et médiatiques.
Depuis au moins la fin des années
1970, plus encore depuis la marche des beurs en 1983, les médias,
les hommes politiques dissertent sur ces problèmes d'immigration,
d'intégration, d'insécurité sans aucun succès. Pire, en une
trentaine d'années, faute de solution adéquate, ces problèmes ont
augmenté.
Ces gens , sensés être capables ont
montré leur incompétence et leur impuissance qu'elle soit dans le
diagnostic ou dans l'action pour veiller aux intérêts des citoyens
français.
Jusque récemment, la doxa persévérait
dans le déni du risque terroriste, l'exemple de Clémentine Autain en 2013 est sans appel :
Depuis que cette réalité est devenue
incontestable, les gouvernants nous donnent une toute autre version :
«Les jeunes Français doivent s'habituer à vivre durablement avecla menace d'attentats»
nous disait l'ancien premier ministre
Manuel Valls aux lendemains des attentats de Charlie et de
l'Hyper-Cacher. Des propos dernièrement réitérés, :
«Le terrorisme fait partie de notre quotidien pour longtemps»
nous exhorte Manuel Valls.
La doxa a pu ainsi changer en quelques
temps d'un discours du déni à celui d'un constat d'impuissance.
Car aucune action conséquente contre
l'islam politique ne s'est faite depuis les attentats. Les prêcheurs
salafistes sont toujours en activité, protégés par les caïds des
cités d'immigrés (voir le reportage de Bernard de la Villardière),
la suppression de la laïcité pour favoriser l'implantation de
l'islam continue sans réelle contestation (avec notamment la
création de la Fondation pour l'islam
) et l'immigration massive continue de plus belle, bien qu'elle
draine des terroristes.
Ces gens qui nous gouvernent, ont déjà
été décrits dans le passé. Voici ce qu'en disait Charles Péguy dans "Notre jeunesse" :
« Commence le monde … qui fait le malin. Le monde des intelligents, des avancés, de ceux qui savent, de ceux à qui on n'en remontre pas, de ceux à qui on n'en fait pas accroire. Le monde de ceux à qui on n'a plus rien à apprendre. Le monde de ceux qui font le malin. Le monde de ceux qui ne sont pas des dupes, des imbéciles. Comme nous. C'est à dire, le monde de ceux qui ne croient, pas même à l'athéisme, qui ne se dévouent, qui ne se sacrifient à rien »
Et ce qu'en disait George Clemenceau :
« Aux jours tranquilles de
développement heureux, ils feraient très belle figure, et pour des
distributions de prix avec des envolées d'académie, je les vois
spécialement qualifiés. Mais pour regarder en face le simple et
terrible dilemme : vouloir ou mourir ; et se jeter au
danger quant tant de cérémonies les appellent pour une pluie de
fleurs, je le dis de toute ma conviction, cela est au dessus de leurs
moyens. » Homme libre, le 24 mai 1913.
La qualité littéraire en moins, nos
hommes politiques, sont semblables aux incapables décrits plus
haut.
Ceux qui n'ont pas permis la meilleure gestion de la France avant et pendant la Première Guerre, ceux qui ont abandonné les intérêts français dans l'entre-deux guerre préférant pactiser avec l'Allemagne puis qui n'ont qu’insuffisamment réarmés, pour enfin collaborer.
Ceux qui n'ont pas permis la meilleure gestion de la France avant et pendant la Première Guerre, ceux qui ont abandonné les intérêts français dans l'entre-deux guerre préférant pactiser avec l'Allemagne puis qui n'ont qu’insuffisamment réarmés, pour enfin collaborer.
Tous ces politiciens, aussi doués
qu'ils soient pour faire des combinaisons, obtenir des financements,
n'avaient que peu de sens pour défendre les intérêts des citoyens
qui leur avaient accordé leur confiance.
Si dans les moments difficiles, ces
politiciens sont incapables, c'est aux citoyens de s'engager pour
redonner du sens à la politique qui dans le cadre de la République,
doit prioritairement garantir les intérêts des citoyens du peuple
français.
Car ces politiciens ne sont forts que
du pouvoir et de la confiance que nous leur donnons, nous ne leur
devons rien, eux doivent nous rendre des comptes.
Avant de s'expliquer devant les
instances internationales de plus en plus illégitimes telle l'ONU ou
l'Union Européenne, avant de se référer aux associations
anti-racistes (anti-occidentales serait plus approprié), de se
justifier devant les pays islamiques, nos dirigeants doivent nous
rendre des comptes à nous, citoyens.
S'ils ne le font pas, c'est aux citoyens de Français de leur rappeler les références de notre constitution que sont les Droits de l'Homme et la souveraineté nationale qui lui est associée.
S'ils ne le font pas, c'est aux citoyens de Français de leur rappeler les références de notre constitution que sont les Droits de l'Homme et la souveraineté nationale qui lui est associée.
Notre République, c'est le
« gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple »
(art. 2 de la constitution), et il faudra bien que les hommes
politiques le réapprennent.
Plus que sur des instances supranationales, des institutions étatiques ou des politiciens, les grands républicains historiques voyaient l'avenir d'un pays comme la résultante directe des forces vives déployées par son peuple.
Péguy écrivait toujours dans Notre Jeunesse "
"Ce sont les peuples qui font les
régimes, la paix et la guerre, la force et la faiblesse, la maladie
et la santé des régimes."
En conclusion de son livre de mémoire sur la Grande Guerre, Clemenceau écrivait "La France sera ce que les Français ont mérité"
L'avenir de la France sera donc déterminé par l'engagement de ses citoyens qui devront se lever pour continuer son histoire, pour survivre et faire mentir les politiciens opportunistes qui ont misé sur la disparition du peuple français.
Si nous ne retrouvons pas notre
auto-détermination, nous serons emportés par un désastre qui
pourrait ne même plus laisser son nom à la France.
Contre ce cataclysme annoncé, citoyens levez-vous !
Contre ce cataclysme annoncé, citoyens levez-vous !
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